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post 542
Après l'oncle, le beau frère, la mère voilà le tour du beau père.
La faucheuse n'y va pas de main morte. Si je peux dire.
SALOPE !
Une seule chose que j'ai apprise : il faut aller au bout, tout au bout de son chagrin, pour que plus tard l'absence se transforme, petit à petit, en grande douceur.
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