• post 538

     Billet à caractère sexuel - ne le lis pas si c'est contre ta philosophie, religion etc

     

     

    Elle monte dans ma voiture.

     

    Elle : On va à l'hôtel !

     

    Moi : Tu me guides ?

     

    Et nous voilà partis. Je conduis sous ses ordres. Tout en roulant nous échangeons quelques propos. Par moments je laisse errer une main sur sa cuisse ou caresse sa main.

     

    Elle : Je monte, je prends la chambre, je t'envoie le numéro sur ton portable.

     

    J'attends, par chance j'ai trouvé une place à l'ombre d'un arbre, c'est la fournaise.

     

    Elle, c'est une très jolie jeune femme, avec ce qu'il faut de formes, souriante, naturelle, d'un abord simple et gentil. Elle porte un pantalon noir moulant et un haut coloré très mignon. Dans la voiture elle sentait bon mais pas un parfum une odeur de savonnette. Elle m'a plu instantanément bien au-delà de tout ce que j'espérais.

     

    Je reçois le numéro, j'entre dans l'hôtel, fais un vague signe de main à la réceptionniste, grimpe un étage et frappe à la porte. La chambre est tout au bout du couloir. Je me demande si c'est voulu.

     

    Elle tire la porte, c'est une chambre minimale, petite, il fait une chaleur de dingue, on essaie d'ouvrir la fenêtre, on referme aussitôt c'est encore pire. Pas de clim. Un rideau opaque heureusement.

     

    Elle : J'ai besoin d'aller dans la salle de bains.

     

    Elle ouvre et rentre dans un espace à peine plus grand qu'un placard à balais. Referme la porte. J'entends l'eau couler. J'ouvre discrètement. L'eau qui jaillit du robinet a le mérite de rafraîchir l 'ambiance.

     

    Elle m'a vu et : tu sais je suis assez pudique en fait.

     

    Je repousse la porte. Puis ne tenant plus j'ouvre de nouveau, elle est en soutien gorge culotte. Je lui souris, avance et caresse ses épaules, son ventre, un peu ses seins. La lumière crue la gêne, j'éteins, elle revient dans la pénombre de la chambre. Elle enlève son soutien gorge et sa culotte. Je suis déjà en slip. En boxer, je me suis dit en me préparant que ce serait plus sexy.

     

    Je la caresse debout, son ventre, encore ses seins, juste de petites caresses rien de bien précis. Je sais qu'on va crever de chaud mais ça ne me dérange pas.

     

    Elle préfère s'allonger sur le lit et s'étend sur le dos. Je me place à ses côtés, accroupi sur le drap, je ne veux pas m'allonger sur elle, de peur qu'elle étouffe. Je vire ce fichu boxer qui me tient chaud. popaul se dresse déjà fier et content d'être délivré. On s'embrasse longuement, je fais quelques pauses pour la laisser respirer. Je caresse ses seins cette fois ci de manière plus précise ; j'espère lui transmettre l'immense plaisir que je ressens. Je les trouve parfaits, de forme, de taille et de douceur. Puis je me déplace et m'installe à genoux entre ses jambes, juste pour la regarder. Elle a de belles hanches de femme, les jambes fortes mais comme elle est grande elle garde une silhouette assez fine.

     

    Je ne sais que répéter : qu'est ce que tu es belle ! Elle m'envoie des ribambelles de sourires très doux.

    Son sexe imberbe me rend dingue. Si on peut tomber amoureux d'un sexe féminin alors j'ai le coup de foudre. Ne tenant plus j'entrouvre ses cuisses et porte ma bouche, ma langue sur l'objet de ma passion. S'ensuivent quelques minutes de gamahuchage, léchages divers et variés, son goût est exquis, ce qui n'est pas si fréquent. C'est un régal absolu.

     

    Je n'insiste pas trop ne voulant pas qu'elle prenne de l'avance sur moi et c'est à son tour de me prodiguer variétés de petits plaisirs buccaux. Je ne délaisse pas pour autant son corps et en explore les parties à portée de main.

     

    Moi, après m'être replacé entre ses cuisses et lui avoir de nouveau prouvé ma souplesse linguale : tu as un préservatif ?

     

    Elle se lève, le sors de son sac, j'ouvre la protection, elle surveille que je le place bien sur la bonne face, rassurée elle me laisse me débrouiller avec ce machin que je déteste, mais faut ce qui faut !

     

    Elle : c'est à quatre pattes que je préfère.

     

    Et elle se place en levrette sur le lit.

     

    Moi : moi aussiiiiii !

     

    En fin de compte, comme prévu on a eu excessivement chaud. On dégoulinait. Les cris d'une femme qui jouit à quatre heures de l'après midi dans une chambre d'hôtel au fond du couloir, somme toute, c'est banal. D'autant qu'en attendant près de la voiture, j'avais vu sortir un couple et chacun était reparti dans sa propre voiture, certainement pas un couple légitime.

     

    On s'est rincé, séché, rhabillé, elle s'est recoiffée, légèrement remaquillée. Je n'étais pas rassasié je l'aurais bien encore caressée des heures.

     

    Avant de quitter la chambre...

     

    Moi : je t'ai mis deux cent quarante tu vérifies quand même.

     

    Elle : merci, c'est gentil.

     

    Je l'ai emmenée à la gare, elle allait sur Lyon.

    Je l'ai posée un peu avant car le passage à niveau était baissé.

    Avant de quitter la voiture elle a déposé un baiser sur mes lèvres avec un naturel absolu.

     

     

     

     

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