-
post 471
Le pognon je touchois
Anne, ma sœur Anne ne vois tu rien venir ?
Non Pénélope, je ne vois que le ciel qui flamboie et la route qui goudronnoie.
Ne vois tu point mon beau François ?
Non Pénélope, point si impatiente ne soit.
Trop me manque mon fier François.
Ah si ! Un grand destrier j'aperçois.
Certainement mon doux François, quelle joie !
Que nenni, c'est un coursier qui son bras agitoit.
Enfin des nouvelles de mon désiré François.
Hélas non, un chèque il montroit.
Va cours et le chèque encaissoit, sur le pognon non ne crachoit.
Ouiiii vers ce bel homme je courois
-
Commentaires