• BLOG EN PAUSE

     

    Profites en pour lire tous les billets géniaux que tu as loupés...

    Rappel :  ce blog a obtenu de la part du IIMQB (Institut Indépendant de Mesure de la Qualité des Blogs) la très enviée mention : gagne à être connu. C'est pas rien.

     

     

     

     

     

    Je te case ce dessin que je ne savais pas où mettre. Non ce n'est pas un auto portrait. J'avais tenté de représenter Rokia Traore mais c'est loupé.

     

     

    post 539


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  •  Billet à caractère sexuel - ne le lis pas si c'est contre ta philosophie, religion etc

     

     

    Elle monte dans ma voiture.

     

    Elle : On va à l'hôtel !

     

    Moi : Tu me guides ?

     

    Et nous voilà partis. Je conduis sous ses ordres. Tout en roulant nous échangeons quelques propos. Par moments je laisse errer une main sur sa cuisse ou caresse sa main.

     

    Elle : Je monte, je prends la chambre, je t'envoie le numéro sur ton portable.

     

    J'attends, par chance j'ai trouvé une place à l'ombre d'un arbre, c'est la fournaise.

     

    Elle, c'est une très jolie jeune femme, avec ce qu'il faut de formes, souriante, naturelle, d'un abord simple et gentil. Elle porte un pantalon noir moulant et un haut coloré très mignon. Dans la voiture elle sentait bon mais pas un parfum une odeur de savonnette. Elle m'a plu instantanément bien au-delà de tout ce que j'espérais.

     

    Je reçois le numéro, j'entre dans l'hôtel, fais un vague signe de main à la réceptionniste, grimpe un étage et frappe à la porte. La chambre est tout au bout du couloir. Je me demande si c'est voulu.

     

    Elle tire la porte, c'est une chambre minimale, petite, il fait une chaleur de dingue, on essaie d'ouvrir la fenêtre, on referme aussitôt c'est encore pire. Pas de clim. Un rideau opaque heureusement.

     

    Elle : J'ai besoin d'aller dans la salle de bains.

     

    Elle ouvre et rentre dans un espace à peine plus grand qu'un placard à balais. Referme la porte. J'entends l'eau couler. J'ouvre discrètement. L'eau qui jaillit du robinet a le mérite de rafraîchir l 'ambiance.

     

    Elle m'a vu et : tu sais je suis assez pudique en fait.

     

    Je repousse la porte. Puis ne tenant plus j'ouvre de nouveau, elle est en soutien gorge culotte. Je lui souris, avance et caresse ses épaules, son ventre, un peu ses seins. La lumière crue la gêne, j'éteins, elle revient dans la pénombre de la chambre. Elle enlève son soutien gorge et sa culotte. Je suis déjà en slip. En boxer, je me suis dit en me préparant que ce serait plus sexy.

     

    Je la caresse debout, son ventre, encore ses seins, juste de petites caresses rien de bien précis. Je sais qu'on va crever de chaud mais ça ne me dérange pas.

     

    Elle préfère s'allonger sur le lit et s'étend sur le dos. Je me place à ses côtés, accroupi sur le drap, je ne veux pas m'allonger sur elle, de peur qu'elle étouffe. Je vire ce fichu boxer qui me tient chaud. popaul se dresse déjà fier et content d'être délivré. On s'embrasse longuement, je fais quelques pauses pour la laisser respirer. Je caresse ses seins cette fois ci de manière plus précise ; j'espère lui transmettre l'immense plaisir que je ressens. Je les trouve parfaits, de forme, de taille et de douceur. Puis je me déplace et m'installe à genoux entre ses jambes, juste pour la regarder. Elle a de belles hanches de femme, les jambes fortes mais comme elle est grande elle garde une silhouette assez fine.

     

    Je ne sais que répéter : qu'est ce que tu es belle ! Elle m'envoie des ribambelles de sourires très doux.

    Son sexe imberbe me rend dingue. Si on peut tomber amoureux d'un sexe féminin alors j'ai le coup de foudre. Ne tenant plus j'entrouvre ses cuisses et porte ma bouche, ma langue sur l'objet de ma passion. S'ensuivent quelques minutes de gamahuchage, léchages divers et variés, son goût est exquis, ce qui n'est pas si fréquent. C'est un régal absolu.

     

    Je n'insiste pas trop ne voulant pas qu'elle prenne de l'avance sur moi et c'est à son tour de me prodiguer variétés de petits plaisirs buccaux. Je ne délaisse pas pour autant son corps et en explore les parties à portée de main.

     

    Moi, après m'être replacé entre ses cuisses et lui avoir de nouveau prouvé ma souplesse linguale : tu as un préservatif ?

     

    Elle se lève, le sors de son sac, j'ouvre la protection, elle surveille que je le place bien sur la bonne face, rassurée elle me laisse me débrouiller avec ce machin que je déteste, mais faut ce qui faut !

     

    Elle : c'est à quatre pattes que je préfère.

     

    Et elle se place en levrette sur le lit.

     

    Moi : moi aussiiiiii !

     

    En fin de compte, comme prévu on a eu excessivement chaud. On dégoulinait. Les cris d'une femme qui jouit à quatre heures de l'après midi dans une chambre d'hôtel au fond du couloir, somme toute, c'est banal. D'autant qu'en attendant près de la voiture, j'avais vu sortir un couple et chacun était reparti dans sa propre voiture, certainement pas un couple légitime.

     

    On s'est rincé, séché, rhabillé, elle s'est recoiffée, légèrement remaquillée. Je n'étais pas rassasié je l'aurais bien encore caressée des heures.

     

    Avant de quitter la chambre...

     

    Moi : je t'ai mis deux cent quarante tu vérifies quand même.

     

    Elle : merci, c'est gentil.

     

    Je l'ai emmenée à la gare, elle allait sur Lyon.

    Je l'ai posée un peu avant car le passage à niveau était baissé.

    Avant de quitter la voiture elle a déposé un baiser sur mes lèvres avec un naturel absolu.

     

     

     

     


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  •  La Princesse de la Croix Rousse

     

     

    C'est une très jolie sirène

     

    elle va là où son désir la mène

     

    avec des hommes ou sur la scène

     

    elle vit, elle jouit, libre, sans rênes

     


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  •  

    Pinaillage

     

    J'ai une copine avec qui je pratique une activité, elle est sympa comme tout, ouverte, affable. Sa grande passion c'est de se poser des questions. Et d'en faire profiter tout le monde.

     

    Dis donc Gérard, quand j'avance ma jambe droite, mon pied droit, moi j'ai tendance à le tourner à 45° mais, en fait, je me demande si c'est correct !

     

    Gérard, c'est le prof qui est d'une patience et d'une gentillesse remarquables : oui 45 ° c'est bien, bon tu peux aller jusqu'à 60, euh, 90 ça ferait trop, on cherche pas à imiter Charlot, non plus.

     

    Et c'est parti pour 5 minutes de digression. Du coup tout le monde s'arrête et se met à discuter avec son voisin.

     



     

    Je me l'imagine la dite copine faisant l'amour avec son mec.

     

    En plein ébat...

     



     

    Dis donc, Jean Claude, la dernière fois qu'on a fait l'amour, tu sais quand tu m'as prise en levrette...

     

    Jean claude : han han, oui ?

     

    Elle : j'avais la tête posée sur le matelas, la figure dans les draps, d'ailleurs je te le dis en passant, c'est pas si facile pour respirer, et comme je relevais bien mes fesses, j'avais le buste qui faisait 45 ° avec le matelas, tu m'as rien dit à ce sujet, ça t'a plu ?

     

    JC : han han oui beaucoup...

     

    Elle : parce que là, comme je me suis bien plus cambrée, je pense être largement à 60 °, pour moi c'est un peu plus pénible mais est ce que toi tu sens la différence ?

     

    JC : han han han oui un peu...

     

    Elle : tiens j'ai une idée je vais alterner, 30 secondes à 45 ° puis 30 s à 60 ° et tu me diras ce que tu préfères.

     

    JC : han han ok ...

     

    elle : je te dis hein ! là je suis à 45...

     

    JC : han han

     



     

    tic tac tic tac...

     



     

    Elle : je passe à 60...

     

    JC : han han

     



     

    tic tac tic tac...

     



     

    Elle : je retourne à 45

     

    JC : han han

     

    Elle : en fait je me demande si je serais pas plutôt à 50 là tu vois, ouaih non, c'est quand même pas évident, tu comprends ?

     

    JC : euh non...

     

    Elle : moi je te sens bien mieux à 50 c'est vraiment net...

     

    JC : non là c'est mes doigts, y'a longtemps que j'ai débandé...

     

    Elle : ouiiiiiiiii continue mais ne les enfonce qu'aux trois quarts... en exerçant un mouvement tournant, qu'est ce t'en penses ?

     

    JC : …

     



     



     


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  •  RETROUVAILLES

     

    Moi, je me baladais tranquillou, et là, tu vas pas me croire, je retombe, pile poil, ou pile plume sur le même coucou que l'autre fois. Dingue. Je l'ai reconnu tout de suite. C'est pas pour me vanter mais je suis vachement, oisellement plutôt, physionomiste.

     

    Je l'ai attaqué bille en tête.

     

     

     

    Alors Pavarotti ça boume ?

     

    Lui : coucou coucou

     

    Moi : ah non tu vas pas remettre ça !

     

    Lui : coucou coucou

     

    Moi : chais pas moi, le minimum c'est de dire bonjour !

     

    Lui : coucou coucou

     

    Moi : bonjour bonjour

     

    Lui : coucou coucou

     

    Moi : bon ok passons, et alors votre présidentielle ?

     

    Lui : coucou coucou

     

    Moi : ça j'avais compris, mais le vainqueur c'est qui ?

     

    Lui : coucou coucou

     

    Moi : nooooooooooon, me dis pas que c'est un coucou !

     

    Lui : coucou coucou

     

    Moi : Nous c'est un gars nommé Macron, tu le connais ?

     

    Lui : coucou coucou

     

    Moi : pffff... de toute façon tu connais pas grand chose. Alors c'est qui ?

     

    Lui : coucou coucou

     

    Moi : allez sois cool cool dis moi qui c'est...

     

    Lui : coucou coucou

     

    Moi : allez merde quoi ! Je suis super discret...

     

    Lui : coucou coucou

     

    Moi : au moins un indice... il chante bien ? Son ramage égale son plumage ?

     

    Lui : coucou coucou

     

    Moi : il est le phénix des hôtes de ces bois ?

     

    Lui : coucou coucou

     

    Moi : bein...  j'vais te dire un bon truc : t'es pas marrant comme mec ! Voilà c'est dit. Et crois moi c'est rare que je sois aussi agressif.

     

    Lui : coucou coucou

     

    Moi : adieu adieu

     

    Lui : coucou coucou

     

     

     

    Le mec coucou pire que ma moitié il veut toujours avoir le dernier mot.

     

     

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